Etat des lieux

Publié le : 21 septembre 20204 mins de lecture

Avant de vous détailler mes péripéties dans la découverte des soins naturels pour les cheveux, il faut que je vous explique par quoi ils sont passés avant !

Mon histoire capillaire :

Depuis petite je suis brune. Enfant mes parents m’ont traumatisée avec le carré champignon sous les oreilles et même des coupes garçonne.
Entre 14 et 17 ans, j’ai eu une période mèches / couleurs / henné. Vous savez l’âge rebelle où on se cherche et où on essaye des choses. Mes cheveux m’arrivaient au niveau des épaules.

Puis il y a eu une deuxième phase : de 18 à 25 ans où je me suis calmée. Une coupe des pointes et un dégradé des longueurs tous les ans et utilisation d’un shampoing doux aux oeufs (mais si, le dop aux oeufs, je suis sûre que vous l’avez utilisé aussi). C’est à cette période que mes cheveux sont les plus jolis, ils m’arrivent au niveau de la poitrine et sont plutôt doux. Les hormones de grossesse ont peut être aidé à tout ça.

De 26 à 30, j’ai une deuxième phase de pétage de plombs. J’approche de la trentaine et j’ai l’impression de m’être plus occupée de mes enfants que de moi même. J’entreprend un grand régime qui me fait perdre 15 kilos mais je commence à avoir des cheveux blancs (stress, fatigue ?) alors je commence les couleurs. Au début en salon puis j’alterne couleur de salon et de grande surface pour ne finir qu’aux couleurs de grande surface. Mes cheveux ne poussent plus, ils sont juste sous les épaules. Ils devient sec et ternes alors je rentre dans la spirale shampoing / après shampoing / masque chimiques qui donnent une impression de mieux sur le moment mais qui ne font qu’empirer les choses.

En mars 2012, ils sont tellement abîmés que je les fait couper juste sous le menton mais je continue à faire une couleur de grande surface par mois.

Novembre 2013, c’est le coup de grâce … la mode du tie and dye me fait tourner la tête et j’essaye de décolorer mes pointes moi même avec une décoloration de grande surface. Heureusement, j’ai un sursaut de lucidité et ne laisse poser le produit que la moitié du temps indiqué. Mes pointes ne sont pas beaucoup plus claires que le reste de ma chevelure mais sont quand même bien abîmées. Quelques jours plus tard, je fais ma prise de conscience et décide de mettre mes cheveux au vert !

Mes objectifs :

Ils sont simples mais je sais que je mettrai des années à y arriver ! Il va me falloir m’armer de patience… et la patience et moi ça fait deux mais le jeu en vaut la chandelle. Ce que je voudrai :

  • Voir des cheveux complètements naturels
  • Ne plus avoir cet horrible dégradé effilé
  • Qu’ils atteignent la poitrine, voir la taille
  • Camoufler malgré tout naturellement mes cheveux blancs

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